L’amant table sur son amour
L’amant peine sur le retour
L’amant peine sur le retour
Un retard, le premier, un mensonge à jamais
Je peste ce désir qui m’enivre de sa personne
Un cauchemar assuré, moment où je vais rentrer
Car d’un sourire, je tairai la honte qui m’empoisonne
Toi que j’aime depuis tant d’années
Toi qui me donne ce qu’aucune n’a à genoux
Je te dissimule des sentiments parfumés
Nos mots doux qui n’appartenaient qu’à nous
Ce soir, j’ai trahi un serment que j’avais promis
Bâtard que je suis, d’oser t’approcher
Alors qu’une heure avant, je te trompais
Avec cette femme, que dis-je ta meilleure amie
Certes elle n’a pas ton charme et ta douceur
Mais son regard me désarme de toute pudeur
Paradoxe d’un goujat en sursis
Je te serre dans mes bras et pense à tout ceci
Des enfants, un bonheur trop parfait
Une routine que le diable m’a contée
Un rond point où j’ai choisi le surfait
Un cul de sac où du cul en vrac me tentait
Pas une lettre, ni une parole en retour
Ne pourra effacer l’écart d’une soirée de sexe
Le pardon s’étiole sous ta colère vautour
Pas un seau de tippex ne changera la direction de ton index
J’ai eu mon plaisir, le plus grand de mes fantasmes
J’ai croqué le désir en pourchassant cet orgasme
Ai-je eu tort de te le dire car du meilleur reste le pire
Encore de la cire sur mon cœur qui se déchire
L’amant menteur n’a le cœur en apesanteur
Quand son secret déferle au grand jour
L’accord majeur passe en mode mineur
Car le déshonneur d’une maîtresse est trop lourd
Bien fiévreux celui qui jure fidélité
Qu’il s’abstienne de feinter sa dulcinée
Car au tournant de la vérité
Il n’est plus question de pardonner
Je peste ce désir qui m’enivre de sa personne
Un cauchemar assuré, moment où je vais rentrer
Car d’un sourire, je tairai la honte qui m’empoisonne
Toi que j’aime depuis tant d’années
Toi qui me donne ce qu’aucune n’a à genoux
Je te dissimule des sentiments parfumés
Nos mots doux qui n’appartenaient qu’à nous
Ce soir, j’ai trahi un serment que j’avais promis
Bâtard que je suis, d’oser t’approcher
Alors qu’une heure avant, je te trompais
Avec cette femme, que dis-je ta meilleure amie
Certes elle n’a pas ton charme et ta douceur
Mais son regard me désarme de toute pudeur
Paradoxe d’un goujat en sursis
Je te serre dans mes bras et pense à tout ceci
Des enfants, un bonheur trop parfait
Une routine que le diable m’a contée
Un rond point où j’ai choisi le surfait
Un cul de sac où du cul en vrac me tentait
Pas une lettre, ni une parole en retour
Ne pourra effacer l’écart d’une soirée de sexe
Le pardon s’étiole sous ta colère vautour
Pas un seau de tippex ne changera la direction de ton index
J’ai eu mon plaisir, le plus grand de mes fantasmes
J’ai croqué le désir en pourchassant cet orgasme
Ai-je eu tort de te le dire car du meilleur reste le pire
Encore de la cire sur mon cœur qui se déchire
L’amant menteur n’a le cœur en apesanteur
Quand son secret déferle au grand jour
L’accord majeur passe en mode mineur
Car le déshonneur d’une maîtresse est trop lourd
Bien fiévreux celui qui jure fidélité
Qu’il s’abstienne de feinter sa dulcinée
Car au tournant de la vérité
Il n’est plus question de pardonner